La conception divine dans la nature
Description: Les nombreuses évidences, dans la nature, qui prouvent l’existence de Dieu, et comment la théorie de la complexité irréductible contredit celles de Darwin.
- par A.O.
- Publié le 14 Jul 2008
- Dernière mise à jour le 22 May 2011
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Imaginez un cachet d’aspirine; il y a de fortes chances pour qu’en y pensant, vous voyiez immédiatement la fente qui le sépare, au milieu. Cette fente est conçue pour aider ceux qui ne souhaitent prendre que la moitié d’un comprimé. Chaque chose que l’on voit autour de nous, même si elle n’est pas aussi simple que le cachet d’aspirine, est d’une conception particulière, depuis les voitures aux télécommandes et à toutes ces choses qui nous facilitent l’existence.
Ce qu’on entend par « conception » est l’assemblage harmonieux de diverses composantes en une forme ordonnée, conçue dans un but précis. À partir de cette définition, on peut dire qu’une voiture procède d’une « conception », qu’elle a été conçue dans un but précis, qui est celui de transporter des personnes et des chargements. Pour la réaliser, diverses pièces comme le moteur, les pneus et la carrosserie sont fabriquées et assemblées dans une usine.
Mais qu’en est-il des créatures vivantes? Un oiseau et le mécanisme de son vol peuvent-ils avoir été également conçus? Avant de répondre à cette question, reprenons les mêmes étapes que pour la voiture. Dans le cas de l’oiseau, le but est de le faire voler. Et pour le réaliser, des os creux et des muscles puissants sont assemblés et le corps de l’oiseau est recouvert de plumes capables d’offrir une bonne suspension dans les airs. Les ailes sont formées de façon aérodynamique et le métabolisme est en harmonie avec les besoins énergétiques importants de l’oiseau. Il est évident que l’oiseau est le produit d’une conception.
Si nous étudions d’autres créatures que l’oiseau, nous remarquons des faits similaires. Nous retrouvons dans chaque créature des exemples de conception méticuleuse. Si nous poursuivons nos recherches, nous découvrons que nous sommes nous-mêmes le résultat d’une conception. Nos mains fonctionnent comme aucune main de robot ne fonctionnera jamais. Nos yeux, qui lisent ces lignes, voient les choses en faisant, de façon tout à fait naturelle, une mise au point que nulle caméra sur terre ne peut parfaitement imiter.
Nous arrivons ainsi à cette importante conclusion : toutes les créatures, y compris nous-mêmes, sont le résultat d’une conception. Voilà qui, à son tour, indique l’existence d’un Créateur, qui conçoit toutes les créatures selon Sa volonté, administre la nature tout entière et détient une sagesse et un pouvoir absolus.
Cette vérité, cependant, est niée par la théorie de l’évolution apparue au milieu du 19e siècle. Cette théorie, exposée par Charles Darwin dans son ouvrage intitulé L’origine des espèces, soutient que tous les êtres vivants auraient évolué par une série de coïncidences et muté les uns à partir des autres.
Selon l’assertion fondamentale de cette théorie, toutes les créatures vivantes subissent de menues mutations tout à fait aléatoires. Si ces mutations aléatoires affectent positivement une créature, elle en tire un avantage sur les autres, avantage qui est alors transmis aux générations suivantes.
Cette théorie a été popularisée et enseignée depuis 140 ans et on l’a faite passer pour très scientifique et convaincante. Mais lorsqu’étudiée sous un plus puissant microscope et comparée aux exemples relatifs à la conception mentionnés ci-haut, c’est une autre facette de la théorie de Darwin qui nous apparaît; l’explication darwinienne de la vie n’est rien d’autre qu’un cercle vicieux qui se contredit sans cesse lui-même.
Concentrons-nous d’abord sur ces « mutations aléatoires ». Darwin n’a jamais pu fournir une définition élaborée de ce concept à cause du manque de connaissances généalogiques de son époque. La mutation est une interruption, une rupture ou un changement arbitraire chez les gènes de créatures vivantes. Ce qu’il importe de savoir est qu’il n’y a pas une seule mutation, dans toute l’histoire, dont on a prouvé qu’elle aurait amélioré la condition de l’information génétique d’une créature. Presque tous les cas connus de mutations ont en réalité handicapé ou nui à ces créatures, tandis que les autres ont eu un effet neutre. Croire, donc, qu’une créature peut s’améliorer à travers des mutations est comme tirer dans une foule en espérant que les blessures subies par les individus atteints leur apportent une meilleure santé et une meilleure condition générale. Voilà qui n’a aucun sens.
Plus important encore, et contrairement à toutes les données scientifiques, même si l’on présumait qu’une certaine mutation pouvait vraiment améliorer la condition d’un être vivant, le darwinisme ne serait toujours pas à l’abri d’un effondrement inévitable. Et la raison en est un concept appelé la « complexité irréductible ».
L’implication de ce concept est que la majorité des systèmes et organes chez les êtres vivants fonctionnent grâce à différentes parties indépendantes travaillant ensemble. L’élimination ou la désactivation ne serait-ce que d’une seule de ces parties serait suffisante pour affecter tout le fonctionnement du système ou de l’organe en question.
L’oreille, par exemple, ne perçoit les sons qu’à travers une chaîne de réactions se produisant dans des organes plus petits. Enlevez ou déformez un seul d’entre eux, i.e. un des os de l’oreille moyenne, et l’audition ne sera plus possible. Pour qu’une oreille puisse percevoir les sons, divers composants comme le canal auditif, le tympan, les os de l’oreille moyenne (le marteau, l’enclume et l’étrier), la cochlée, organe creux rempli de liquide, les cellules sensorielles, les stéréocils et le réseau de nerfs connecté au centre de l’audition du cerveau doivent tous travailler ensemble. Ce système n’aurait pu se développer petit à petit, car aucune de ses parties n’aurait pu fonctionner seule.
Ainsi, le concept de complexité irréductible détruit à sa base la théorie de l’évolution. Il est intéressant de noter que Darwin lui-même s’inquiétait de cette perspective. Dans L’origine des espèces, il écrit :
« Si jamais on arrive à démontrer l’impossibilité de la formation d’un organe complexe par une suite de menues modifications, ma théorie s’effondrerait complètement. Mais je n’ai jamais pu trouver un tel organe… » (Charles Darwin, The Origin of Species: A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 189.)
Darwin n’a pu ou n’a pas cherché à trouver un tel organe à un moment où la science, au 19e siècle, en était à ses premiers balbutiements. Mais la science du 20e siècle, elle, a bel et bien étudié la nature jusque dans ses moindres détails et a démontré que la majorité des structures vivantes représentent cette complexité irréductible. Par conséquent, la théorie de Darwin s’est bel et bien effondrée, tel qu’il le craignait.
En étudiant les êtres vivants, non seulement découvrons-nous l’immense erreur du darwinisme, mais nous sommes également témoins de la grandeur de la sagesse derrière la création de ces systèmes, lesquels sont présents partout, depuis les ailes d’un oiseau jusqu’à l’intérieur du crâne d’une chauve-souris. Nous voyons ainsi les preuves indiscutables de la parfaite création de Dieu. La puissance de Dieu et Son art de créer les choses et les êtres à la perfection sont ainsi exprimés dans le Coran :
« C’est Lui Dieu, le Créateur, Celui qui donne un commencement à toute chose et qui en détermine la forme. Les plus beaux noms Lui appartiennent. Tout ce qui est dans les cieux et sur la terre Le glorifie, et c’est Lui le Puissant, le Sage. » (Coran 59:24)
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